Formation au deux roues motorisés
I - Motocyclette
Une motocyclette, plus couramment désignée par son apocope moto, est un véhicule motorisé.
Inventée au xixe siècle dans le même temps que les premiers moteurs thermiques, les motos se déclinent aujourd'hui en plusieurs types selon leurs usages : sportive, routière, tout terrain, etc.
Le conducteur, appelé motard ou motocycliste, y est assis à califourchon sur la selle, les mains tiennent le guidon et les pieds sont sur des repose-pieds.
Source : Wikipedia
II - Typologie
Au sein du Los Santos Police Department, un seul type de moto est disponible : le roadster.
Un roadster se caractérise par l'absence de carénage.
L'accent est ici mis sur les sensations d'accélération, de nervosité et de maniabilité. Le moteur « coupleux » (riche en couple) donne un très bon rapport poids/puissance. Bien que destinée à une utilisation urbaine,
cette moto se prête également à des trajets routiers, mais l'absence de carénage expose le conducteur à la pression du vent. Elle peut être dotée d'équipements pour un meilleur confort de conduite comme une bulle (petit pare-brise), un saute-vent ou une tête de fourche.
Outre les motos dites « basiques », les roadsters simples de cylindrée moyenne sont prisés par les débutants pour leur facilité de prise en main. On compte dans cette catégorie de plus en plus de roadsters sportifs,
dotés de moteurs plus puissants, capables de très fortes accélérations.
III - Mécanique
Les moteurs que possèdent les motos du LSPD, sont des moteurs quatre temps. Le moteur quatre temps se déroule donc en quatre étape :
Etape 1 - L'admission
Durant l'admission, la soupape d'échappement est fermée et la soupape d'admission est ouverte. Le piston descend donc créer une dépression permettant d'aspirer le mélange air/essence venant du carburateur.
Etape 2 - La compression
A cette étape, les deux soupapes sont fermées rendant la culasse hermétique. Le piston remonte et comprime le mélange air/essence. Cette simple compression va élever le mélange carburé à une température de 300°C environ. Si la température s'élève encore de 100°C supplémentaire, le mélange risque de s'enflammer spontanément. C'est ce qu'on appelle l'auto-allumage.
Etape 3 - La détente (ou explosion)
Le piston arrivé à son point le plus haut, une étincelle jaillit entre les électrodes de la bougie provoquant l'inflammation des gaz. Il en résulte une élévation de la pression et de la température poussant alors le piston qui redescend alors vers son point le plus bas. Lorsque que le piston arrive à ce point, les deux soupapes sont encore fermées.
Etape 4 - L'échappement
La soupape d'échappement s'ouvre et le piston en remontant va pousser devant lui les gaz brulés qui s'échappent par ce seul orifice
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